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FAQ : Foire aux Questions

Les réponses aux questions que vous vous posez

L’Association CEC est l’initiative d’Eric Duverger, rejoint par Yannick Servant (puis plus d’une centaine de bénévoles la première année), pour imaginer ce que pourrait produire comme changement un collectif de dirigeant.e.s d’entreprises correctement informés des menaces sur l’environnement.

La CEC a proposé un premier parcours national à 150 chefs d’entreprises françaises, représentatives de la diversité des secteurs, tailles et répartitions territoriales. Ce parcours comportait 6 sessions de 2,5 jours permettant aux dirigeants et à un accompagnant de leur entreprise, le “Planet Champion”, de passer par différentes étapes de transformation.

Session 1 : la “claque” du constat : des experts viennent expliquer ce qu’il se passe sur notre planète, quelles en sont les causes et quelles conséquences cela va générer sur l’homme et les activités humaines. Les autres sessions apportent progressivement les réponses que les entrepreneurs et leur entreprise peuvent apporter à cette crise :

→ réagir avec son cœur autant qu’avec sa tête

→ transformer son modèle économique extractif en un modèle à visée régénérative,

→ s’appuyer sur des élans collectifs, sur la coopération et sur ses richesses humaines,

→ se doter d’une feuille de route ambitieuse et publique à horizon 2030

Début juillet 2022, 150 feuilles de routes étaient officiellement remises.

Depuis, la CEC a essaimé :

→ des CEC territoriales (2023 : 5 se sont tenues)

→ des CEC thématiques (2023 : une thématique achevée, une seconde entamée)

Fin 2023, ce sont plus de 1000 dirigeants qui auront bénéficié de ce parcours de transformation.

La CEC est née en s’inspirant de la Convention Citoyenne pour le Climat. Celle-ci se clôturait en appelant le monde économique à prendre ses responsabilités vis-à-vis du changement climatique.

La CEC a fait le choix de se focaliser sur les dirigeants car ce sont eux, dans le “triangle de l’inaction”, qui ont la capacité de bouger en faisant bouger les autres (les citoyens/consommateurs et les politiques/institutionnels). Ils sont en outre en haut de la pyramide de décision et s’adapter, prendre des décisions voire provoquer des changements fait partie de leur quotidien de décideur. Travailler avec les dirigeants, c’est aussi l’occasion de créer un collectif de pairs qui peuvent œuvrer en intelligence collective avec des personnes qui ont des pressions et des contraintes comparables.

La première CEC rassemblait 150 entreprises de divers horizons et de tailles variées, de la TPE/PME au grand groupe. Elle était représentative du tissu économique français d’après l’INSEE. L’idée était de rassembler des entreprises ayant des difficultés de transition variées pour stimuler l’intelligence collective et résoudre les blocages**.**

La CEC propose aux dirigeants d’entreprises un “changement de cap” : en leur permettant d’identifier leurs impacts négatifs sur l’environnement et les ressources planétaires, ils ont un énorme potentiel de changement. Se transformer est synonyme de préserver leur entreprise à long terme car l’économie dépend, in fine, des ressources naturelles et de l’écosystème “Planète Terre”.

La CEC n’est pas une formation mais un parcours de transformation. Les dirigeants y travaillent en alternance, entre séquences plénières et “camps de base”, petits groupes de travail entre pairs.

Les séquences plénières, selon les sessions, font intervenir des experts hautement qualifiés qui aident à accélérer la prise de conscience des menaces qu’un environnement dégradé fait peser sur les sphères économiques, sociales, sécuritaires et sanitaires de notre modèle.

Chaque camp de base (dix à quinze personnes) bénéficie de l’accompagnement d’un coach et d’un facilitateur (les Cofas) ; ce sont des temps d’échanges entre pairs, dans la confiance. Ils permettent d’assimiler les grands principes évoqués en plénières, de les traduire à son échelle et à celle de son entreprise. Petit à petit, la construction des feuilles de routes de chaque entreprise se tisse dans cette alternance d’informations, d’inspiration, d’exemples et de co-construction au sein d’un collectif bienveillant. Chaque dirigeant.e cherche à situer l’impact de son modèle d’affaire pour le réinventer en tenant compte des limites planétaires, grâce à de nouvelles coopérations, de nouveaux modèles et une posture dirigeante différente.

💡 La CEC est un parcours de transformation qui passe par la prise de conscience accompagnée et la puissance du collectif. Au coeur de la théorie du changement de la CEC on trouve une impulsion basée sur la création d’un cadre de confiance, qui permet ensuite de faire éclore les ambitions régénératives et la transformation.

💡 L’ECONOMIE REGENERATIVE EN 2 MOTS :

L’économie régénérative est un modèle économique qui permet à une entreprise d’avoir une empreinte écologique positive.

Empreinte écologique : “indicateur et mode d’évaluation environnementale qui comptabilise la pression exercée par les humains envers les ressources naturelles et les « services écologiques » fournis par la nature.” (Wikipedia)

Contrairement au modèle extractif, qui ne se soucie pas de l’impact de ses activités sur les systèmes naturels, exploités de manière intensive et sans prise en compte de leur pérennité – et donc des activités même qui en découlent, le modèle régénératif vise un “résultat net positif” en matière d’impact sur la nature. Pour y parvenir, l’entreprise doit faire évoluer ses réflexes de concurrence vers des relations de coopération territoriale.

Cap régénératif pour 2030
Consciente que minimiser les impacts sur la nature ne suffira pas, la CEC invite ses participants à repenser leurs activités selon les modèles régénératifs et les transformer autant que possible : c’est le cap qu’elle propose à ses participants de viser à moyen terme. Si le concept est facile à appréhender, les façons de le mettre en œuvre sont complexent et nécessitent du temps, de l’apprentissage, de l’accompagnement et de la coopération.

Ce modèle récent, issu de divers auteurs et courants aux Etats-Unis, permet à une entreprise de circonscrire les impacts de son activité sous le seuil des limites planétaires, c’est-à-dire non seulement sans dépasser les capacités de la Planète à fournir des ressources, matières, services et aménités pour la création de valeur de cette entreprise, mais même en favorisant sa capacité intrinsèque à les régénérer pour continuer d’en disposer.

Se donner l’ambition de la régénération vise donc à identifier les impacts négatifs de ses activités économiques (besoins en ressources naturelles, en construction, en énergie, en ressources fossiles, en foncier, en matières premières, en polluants… etc.) et à faire progressivement et collectivement en sorte qu’ils soient à terme moindres que les impacts positifs (restauration de la nature dans un état fonctionnel meilleur que l’état antérieur). Ceci grâce notamment à la coopération avec un réseau d’entreprises et de partenaires locaux.

Grands principes de la régénération du Vivant (très condensé !)
La vie sur terre n’est possible que parce qu’il existe un grande nombre de processus physico-chimiques rendus possible par la présence de l’eau, la libération d’oxygène, la photosynthèse, la séquestration du carbone, les sols, etc. : le cycle de la vie et de la régénération du vivant est quasiment infini. Notre économie de marché est pourtant en train de trouver le moyen d’y mettre un terme notamment en détruisant des pans entiers de la biodiversité, en saturant les sols, l’air et l’eau de polluants et en favorisant l’augmentation rapide des températures.

Pour que ce qui nous permet de vivre sur cette planète soit épargné, et donc nous avec, nous devons apprendre à faire à l’intérieur des limites acceptables par l’environnement naturel. Il nous faut pour cela comprendre ce qui lui cause du tort et apprendre à restaurer un certain nombre d’écosystèmes indispensables au fonctionnement de toutes les formes de vie sur terre, indispensables à la nôtre…

Comment l’économie régénérative peut-elle fonctionner ?
Ce modèle cherche à favoriser la régénération des écosystèmes en s’appuyant sur des formes nouvelles et élargies de coopérations entre acteurs d’un même territoire.

La régénération vise à inverser la tendance de l’économie extractive, qui exploite les ressources naturelles en dégradant durablement les milieux, vers une économie régénérative, qui promeut les modes d’interaction avec le vivant favorisant des cycles naturels de régénération suffisants pour conserver la dynamique de régénération.

Ainsi, même une entreprise qui n’a aucun lien direct – fonctionnel, opérationnel ou de service – avec la biodiversité, pourra se tourner vers ses parties-prenantes qui en ont grâce à des coopérations territoriales locales pour favoriser des actions avec des entreprises en lien avec le vivant (agriculture, biologie, écologie, etc.).

Parmi les exemples de ce qu’il est possible de faire en matière de régénération, on peut citer :

→ favoriser les usages intervenant directement dans son business qui maximisent des impacts positifs sur la biodiversité et les milieux

→ la renaturation d’un sol (friche ou jardin qui devient un sol plus vivant par exemple en faisant un nettoyage ou une dépollution, en cessant de tondre et en plantant des espèces mellifères et locales, en favorisant la pousse d’arbres…)

→ tendre vers une production dont on améliore la qualité des intrants en passant à de l’engrais issu de compost, des traitements faibles et a minima bio, etc

→ éviter les interventions sur des sols / milieux qui ont un impact négatif (artificialisation, coupes, transformation de milieux naturels…)

→ favoriser le remplacement ou la transformation, au moins en surface, de zones artificielles (toits, parkings, routes, etc.) par de la végétation

→ etc.

→ FEUILLES DE ROUTE : Les entreprises travaillent à la construction d’une feuille de route qui propose des leviers d’actions concrets et des objectifs chiffrés pour faire la grande bascule vers le régénératif. Ces feuilles de route sont établies à partir d’une question générative qui s’attache à l’établissement d’un business sûr et juste pour l’humanité et son environnement.

→ 10 PROPOSITIONS AU MONDE POLITIQUE : La première CEC a également rédigé 10 propositions à destination du monde politique, des propositions de leviers d’actions, normes et lois que le législateur pourrait mettre en place pour faciliter l’effort du monde économique. Ces propositions ont été approuvées par tous les dirigeants qui ont participé à la CEC. L’idée est d’entrer dans une logique de co-construction avec le monde politique. Certaines de ces propositions ont fait l’objet d’une communication aux Ministères concernés par le Projet de Loi sur l’Industrie Verte afin de servir d’exemple des attentes de dirigeants de la CEC envers les pouvoirs publics.

→ Beaucoup d’autres choses sont sorties de la CEC en termes de projections et de liens humains :

DIRIGEANTS TRANSFORMES : Des dirigeants formés aux enjeux climatiques : clef pour que tout le monde puisse agir en connaissance de cause. Des dirigeants transformés par la claque climatique qu’ils ont reçu en session 1 et dotés d’une véritable volonté d’agir.

ALMUMNIS / CAMPS DE BASE : Un réseau d’alumni pour se stimuler mutuellement, éviter le découragement des dirigeants. Cet isolement peut être nocif pour tout dirigeant motivé ! Les dirigeants comptent donc sur la communauté dont ils ont fait partie. Pour certains les camps de base ont été de vrais moments de création de liens, en petit comité, qui continuent de vivre de façon informelle en dehors du cadre CEC.

La Co-Construction politique de la CEC

→ L’un des piliers de la CEC est de défier le status quo du Triangle de l’Inaction…

→ Dans une société construite autour d’une économie de marché, les entreprises définissent en grande partie les offres, les modèles, les imaginaires. Ce sont souvent elles qui induisent, après leurs innovations techologiques ou sociétales, une prise en compte de ces modifications par la puissance publique qui vient accompagner ou réguler. Donc la réflexion de transformation économique de la CEC, pour être complète, doit aussi se penser avec son influence sur les écosystèmes politiques et institutionnels afin de mobiliser l’accompagnement des entreprises pionnières.

→ Tout au long du premier parcours de la CEC il y a eu des rencontres avec le monde politique : les représentants de la CEC ont rencontré une trentaine de parlementaires, ont été auditionnés par la commission Développement Durable et Aménagement du Territoire à l’Assemblée Nationale ainsi que par la Délégation des entreprises du Sénat, ont rencontré des ministres, interrogé les candidats aux élections présidentielles, etc. Tout ça a nourri les réflexions et à la fin de la CEC, les participants ont voté 10 propositions et donné mandat à l’association au nom du collectif CEC de porter les propositions au gouvernement.

→ Ces 10 propositions votées par les entreprises de la CEC ont été proposées en support de réunions de travail et d’échanges avec les différents ministères concernés et le Secrétariat Général à la Planification Ecologique. Un abstract des propositions les plus pertinentes a été produit en soutien aux travaux du Projet de Loi Industrie Verte.

C’est l’inertie collective dans laquelle s’immobilisent / se piègent mutuellement 1) les individus/consommateurs/citoyens, 2) les politiques/institutions/décideurs publics et 3) les entreprises : tous attendent que le “mouvement” ou la contrainte vienne des “autres”.

Ainsi l’entreprise, attend que les consommateurs envoient un message clair avec leur portefeuille (changement des habitudes de consommation par exemple) et que l’État impose de nouvelles règles du jeu (subventions, lois, normes) – par exemple avec l’indice de réparabilité. Cela peut arriver, dans les deux cas, mais c’est souvent très en aval des grands changements que beaucoup d’entreprises pionnières essuient parfois un peu seules.

Dans ce “triangle de l’inaction”, il est probablement plus facile pour l’entrepreneur d’être le premier à bouger : ils n’attendent plus trop des politiques, qui réagissent aux avancées pionnières gagnantes, et savent qu’il faut parfois anticiper sur les attentes des consommateurs avant que ceux-ci n’adoptent de nouveaux comportements.

Pour sortir de ce triangle, la CEC créé un environnement de collaboration et d’élan collectif pour le monde de l’entreprise afin que la question “Que peut-on faire ?” devienne “Comment sortir ensemble de cette situation ?”.

Les limites planétaires sont les seuils que l’humanité ne devrait pas dépasser pour ne pas compromettre les conditions favorables dans lesquelles elle a pu se développer et pour pouvoir durablement vivre  dans un écosystème  sûr, c’est-à-dire en évitant les modifications brutales et difficilement prévisibles de l’environnement planétaire. Il existe 9 limites planétaires qui ne se limitent pas au réchauffement climatique : réchauffement climatique, biodiversité, équilibre chimique des sols, occupation des sols, pollution, utilisation de l’eau douce, diminution de la couche d’ozone, acidification des océans, concentration des aérosols dans l’atmosphère.)

📢 Notre objectif c’est que les entreprises se rapprochent d’un mode économique qui respecte autant que possible les limites planétaires et parviennent à faire rentrer leurs modèles d’affaires dans ces limites. On n’est pas dans une approche par la décroissance mais dans un véritable changement de modèle : la CEC cherche à passer d’une logique économique du volume à une logique de la régénération.

Une entreprise régénérative qui fait du bien à son écosystème et respecte les limites planétaires peut être en croissance ! Engager les entreprises dans une spirale vertueuse consiste à leur faire se poser la question : “qu’est-ce que je peux faire dans mon modèle économique, mon processus de création de valeur qui va faire du bien à l’humanité et à son environnement ?”

Par exemple, un individu qui a des cellules saines croît normalement grandit en suivant des courbes de croissances qui sont celles de son espèce. Mais lorsque les cellules ne veulent plus s’arrêter de se multiplier, ça crée des cancers ! Nous sommes pour la croissance tant qu’elle est régénérative.

📢 Aucun dirigeant greenwasher n’aurait 10 jours de sont temps à consacrer au sujet de la régénération et de la transformation… ceux qui viennent et restent le font parce qu’ils sont convaincus !

Le greenwashing c’est compliqué une fois qu’on est passé par la CEC : les dirigeants ont compris l’état de la planète et l’urgence de la situation ! Si au contraire ils ne sont pas convaincus et choisissent d’ignorer le constat, ils n’ont aucun intérêt à sacrifier toutes ces journées et décident de ne plus venir : quel serait leur intérêt à passer 12 jours à simuler un intérêt pour les limites planétaires ? Tous les dirigeants restent car l’expérience CEC leur permet d’être confrontés à la réalité, et que cette compréhension les transforme. Les premiers dirigeants alumni restent très liés à leur communauté, à leur “’camp de base” et à leurs engagements.

La CEC est aujourd’hui une association d’intérêt général à but non lucratif, dont la mission est de rendre irrésistible la bascule d’une économie extractive vers une économie régénérative d’ici 2030.

Un parcours revient à plusieurs centaines de milliers d’€ (entre 500 et 900K€), selon le nombre d’entreprises et le coût final.

L’association est financée par :

→ les cotisations des adhérents (entreprises et bénévoles)

→ les dons d‘entreprises et des particuliers

→ les subventions publiques

Ce modèle permet de garantir l’indépendance de la CEC de tout mouvement ou acteur politique et économique.

Ce modèle permet à l’ensemble des entreprises du tissu économique français de pouvoir adhérer avec des montants cotisations fixés en fonction de la taille des entreprises.

Pour l’instant, on est trop loin d’eux mais dans notre scénario d’impact on va aussi embarquer les entreprises du CAC 40. Aujourd’hui, le format de la CEC est très challengeant pour l’emploi du temps d’un dirigeant du CAC 40. C’est donc principalement un problème de temps. On travailler à proposer un format bien plus condensé (des sessions de 6h vs. 2 jours) pour ces dirigeants de très grands groupes qui ont des contraintes fortes et incompatibles avec notre format. Lors de la première édition, on en a rencontré de nombreuses entreprises qui n’ont pas pu participer alors. Aujourd’hui qu’on a notre place dans l’écosystème de la transition et qu’on est clairement identifiés, on reprend contact mais en leur proposant des formats différents, plus condensés et plus particuliers.

Et puis ce sont les plus grosses boites, donc il y a beaucoup d’inertie et le patron n’est finalement pas toujours “durable”… On se rend compte que les boites les plus pérennes et stables sont les plus à l’aises dans le changement : ce sont souvent les entreprises à actionnariat familial !

Lors de la première édition, on en a échangé avec de nombreuses grandes entreprises qui n’ont alors pas pu participer. Aujourd’hui on a gardé le contact, mais en proposant des formats différents, plus condensés, spécifiques et individualisés.

📢 La CEC n’a aucun pouvoir coercitif sur les entreprises et n’apporte ni label, ni certification, ni diplôme. Mais 3 leviers au moins participent à garantir un engagement des entreprises : les feuilles de routes sont pour la plupart publiques et autant que possible chiffrées ; la communauté des alumni maintient une dynamique de volonté de changement, de partage et d’entraide ; la CEC assure la transparence et la mise en lumière des difficultés comme des succès de certaines entreprises.

Notre rôle c’est de planter la graine du changement de paradigme et de norme culturelle chez les dirigeants. Le changement repose donc sur leur engagement dans le temps !

📢 La CEC est un parcours de transformation qui va au delà de la formation. Les participants n’obtiennent aucun label ou diplôme à la fin du parcours. Il y a une partie descendante pour comprendre la situation et l’urgence à laquelle nous faisons face. Mais le parcours va bien au-delà et après la prise de conscience, l’accompagnement des coachs et l’énergie collective créent le cadre de la transformation vers l’entreprise régénérative.

→ Les dirigeants suivent une partie formation : ils suivent des conférences d’experts parmi les plus pointus ; ils ont des ateliers avec des entreprises engagées et pertinente sur les sujets de la transition ; ils ont des interventions de spécialistes des différents sujets et processus économiques comme liés à la transition : il est évident qu’ils ont appris beaucoup durant leur parcours et ont fortement potentialisé leur niveau d’expertise sur le sujet. Car la situation est grave et il leur faut la comprendre s’ils veulent réagir à la bonne échelle de temps comme d’intensité.

→ Mais ça n’est (vraiment!) pas que de la formation, c’est beaucoup plus que cela ! C’est un parcours transformant. Après la prise de conscience, l’accompagnement des coachs et la puissance du collectif se révèlent et vont au-delà de la formation : le cadre de confiance permet ensuite de faire éclore les ambitions régénératives et la transformation.

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