Sophie Robert-Velut, directrice générale de Mustela
Sophie Robert-Velut : Nous sommes 300 à avoir reçu une claque lors de la session 1 de la CEC, en prenant conscience du défi écologique. A mon sens, l’action politique tournée vers les entreprises en France n’est pas encore à la hauteur de cette urgence. Dans la loi sur l’économie circulaire par exemple, un sujet qui touche beaucoup mon activité est la distribution en vrac ou la recharge. La loi n’incite pas à bouger assez vite ni à coopérer avec toute la chaîne de valeur.
Qu’est-ce qui vous empêche d’adopter une stratégie beaucoup plus radicale et plus rapide ? Par qui ou par quoi êtes-vous ralentie où limitée aujourd’hui ?